Il y a des jours de litanie
Où les uns jouent avec l’ennui
Des jours de silence
Où les ombres pensent
Il y a des jours de solitude
Le cœur bat plus que d’habitude
J’suis blanc comme un linge
Je descends du singe
Et je descends dans la rue
Parmi les gens perdus
Je vais sur la jetée
Parler au vent salé
Je vis dans ma bouteille
Je bois jusqu’au soleil
Je vole jusqu’alalie
Des milles et une nuiit
Hen, hen
J’suis blanc comme un linge
Je descends du singe
Il y a des jours ou tu me manques
Des heures ou le bonheur se planque
Des jours de torture
Qui ont la dent dure
Il y a des jours de manquer d’air
A deux doigts de se foutre en l’air
J’suis blanc comme un linge
Je descends du singe
Et je descends dans la rue
Parmi les gens perdus
Je vais sur la jetée
Parler au vent salé
Je vis dans ma bouteille
Je bois jusqu’au soleil
Je vole jusqu’alalie
Des milles et une nuiit
Hen, hen
J’suis blanc comme un linge
Je descends du singe
Il y a des jours mal dans leur peau
Qui ne trouvent pas le repos
Des journées entières
Qui partent en arrière
Et je descends dans la rue
Parmi les gens perdus
Je vais sur la jetée
Parler au vent salé
Je vis dans ma bouteille
Je bois jusqu’au soleil
Je vole jusqu’alalie
Des milles et une nuiit
Hen, hen
J’suis blanc comme un linge
Je descends du singe
Il y a des jours à te chercher
Sur les ruines de mon passé
J’suis blanc comme un linge
Je descends du…singe
Je descends du singe
Tu, tu, lu, tu, tu
Tu, tu, lu, tu, tu
Je descends du singe
Tu, tu, lu, tu, tu
Tu, tu, lu, tu, tu
Tu, tu, tu, lu, tu, tu
Je descends du singe
Tu, tu, lu, tu, tu
Tu, tu, lu, tu, tu, tu
Tu, tu, tu, lu, tu, tu
Je descends du singe
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