Paroles Shen-Dy La maladie
La maladie
Tu sais, ce que tu as quand tu es né
Ou bien que tu choppes au fil des années
Quelque chose qui t'a été destiné
Enfermée en toi, elle se propage
Et commence ses ravages
Une rage dans le moral
Et de plus cette ... dans l'hôpital
De quoi avoir zéro au moral
Sûr, personne pour t'aider
Ton corps en otage
Un vaccin un remède un seul à trouver
Désespéré troublé, tu sais plus quoi penser
Qui écouter
A rester bloqué, ne pas bouger
Ca veut dire parler
Le sourire rangé, le cerveau épuisé,
Les neurones fatiguées
Etat aggravé, ton regard levé,
Ton coeur vidé de joie, rempli de larmes,
Emprisonné sur soi-même
Frères, Soeurs, sachez que rien n'est fini
et que tout est écrit
Refrain:
Alors frère, alors soeur
Toi qui a deux pieds, parlez,
Deux mains, écoutez,
Deux yeux, regardez
Deux pieds, parlez,
Deux mains, écoutez,
Deux yeux, regardez
Toi qui va bienTu sais que tu ne peux l'éviter
L'ignorer alors qu'elle est en toi
Un constat pour toi, je constate pour moi
Imprégné comme un organe vitale
.. c'est fondamental
Rien de moral, djerk au moral, je vis mal, entre corps et âme
Une flamme à lui, Dieu est al
Il pense à lui, il pense à toi,
Crois-moi et bats-toi,
Même si je sais que t'as plus de choix
Pense à ceux autour de toi qui t'aiment
Comme tu es et qui te voient
Sache qu'ils seront toujours là
Et Dieu qui te voit
Accroche-toi mets toi à espérer
Les meilleurs sont de ton côté
Quand mon père... à ses côtés
Rien que les mots que j'écris me font pleurer
J'peux comprendre que ça fasse pleurer
De là ma vie a changé, basculé,
Dégoûté de ne pouvoir rien faire,
Rien que les yeux pour pleurer
Refrain
Quand tout est écrit qu'on peut rien y changer
Que ces soirs inquiets à l'idée de le perdre au réveil
Toutes ses journées avec lui, exceptionnelles
Malgré son état, il était toujours là à nous parler de Dieu,
Toujours là à nous faire marrer,
Ce grand monsieur qu'il était, il voyait au fond de nous,
Il sentait qu'on souffrait,
Malgré qu'on souriait, qu'on lui répétait que ça allait,
Impossible de se le cacher, le padre sera toujours le padre,
Hamdoulah, il nous a préparé car il savait qu'il allait bientôt s'en aller,
Il souriait car c'est la foi qui le guidait,
Aji quand j'étais pas bien, il me disait
T'inquiète pas fils, tout ira bien, Inch'Allah
C'est Dieu qui veut et chacun de nous y passera
Mais ma place désormais n'est plus là
Sois fort, tu auras appris le sens de la vie ici-bas
Refrain
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